Droite progressiste

Le conseil municipal du 9 novembre vient de se terminer avec l’épineuse question, mais néanmoins purement administrative et juridique (voir article L2122-18 du code général des collectivité territoriales), du maintien ou non d’un adjoint dans ses fonctions: D’une courte majorité, l’élu a été maintenu à son poste. En vertu de la loi, ses délégations quant à elles sont toujours suspendues.

Je respecte la décision du conseil municipal qui me semble avoir privilégié plus la forme que le fond. Néanmoins, à long terme, je crains que les difficultés ne fassent que s’accumuler. L’exemple le plus flagrant est le cas Advivo qui ne cesse de grossir (salariés allant aux prud’hommes, manifestations, etc.). Et si cela n’était que la partie émergée de l’iceberg ? Il ne faudrait pas que cela vienne parasiter l’action de la majorité en place.

Face à ce risque, il me semble que seul Jacques Remiller soit le seul à même de pouvoir extirper Vienne du gouffre dans lequel la ville risque de tomber, et je profite de cette note pour lui apporter mon soutient le plus total.

Panneau sans issue

20 réponses à Le cas Kovacs plongera-t-il le conseil municipal de Vienne dans une impasse ?

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